Des sauriens ont modifié leur morphologie après l’arrivée d’une espèce concurrente.
Qui aurait un jour cru que de petits îlots au large de la Floride, côté océan Atlantique, permettraient une démonstration de la théorie de l’évolution ? Celle-ci est quasiment unanimement approuvée, mais il est difficile de la voir à l’œuvre concrètement.
Partant du principe que plus la pression de la sélection naturelle est forte, plus le changement est rapide, des chercheurs américains ont imaginé une expérience grandeur nature pour tester une hypothèse sur l’évolution. Cette hypothèse est que des interactions mutuelles négatives entre espèces proches peuvent conduire, de par la compétition dans leur milieu, à une divergence évolutionnaire rapide. C’est-à-dire que des changements physiques peuvent naître de cette compétition, les individus les mieux adaptés aux conditions possédant ainsi un avantage de survie et donc se multipliant plus que les autres.
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