Pour la première fois en Afrique, un chef d’État, l’Ougandais Yoweri Museveni, ose s’attaquer à la Chine, accusée d’être mêlée au trafic d’ivoire.
Entre la Chine et l’ivoire, c’est une très ancienne histoire d’amour. Chaque habitant de l’empire du Milieu se damnerait pour posséder cette matière noble prisée des anciens empereurs, fût-ce de simples baguettes.
Et peu importe le carnage des éléphants en Afrique. Et peu importe si une convention internationale (la Cites) interdit le commerce de l’ivoire. Voilà la principale raison du massacre, chaque année, de plus de 35 000 éléphants africains – selon les ONG – quand il n’en reste plus que 400 000 en liberté. (…)
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