C’est un petit mustélidé de moins d’un kilo (pour les plus gros mâles), de 50 centimètres de long (avec la queue) qu’on ne voit jamais (car il vit la nuit) mais qui pourrait bien disparaître si l’on y prend garde.
Le vison d’Europe était autrefois présent partout sur le continent, jusque dans le nord de la Russie.
Sa présence n’est plus avérée que dans de petites régions, l’une très à l’ouest, l’autre très à l’est du continent européen si bien qu’il est classé « en danger critique d’extinction » par l’UICN (…)
La suite de l’article sur le site de Sciences et Avenir : cliquez ici