Des poissons exposés à une pollution sonore aiguë sont plus vulnérables aux maladies et meurent plus vite quand l’exposition est chronique.
C’est ce qu’avance une nouvelle étude qui souligne les conséquences de l’activité humaine sur le monde vivant.
Sonars, forages ou moteurs, sont autant de sources de « stress, perte d’audition, changements de comportement et d’immunité réduite » pour les populations de poissons, rappelle l’étude menée par des chercheurs de l’Université de Cardiff.
Leur contribution, publiée mercredi dans la revue Royal Society Open Science, porte sur l’impact de la pollution sonore sur la résistance à des maladies parasitaires, un fléau de la pisciculture. (…)
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