Une jeune louve d’exception en sursis sur le plateau de Millevaches : Nouvelles des 2 loups

L’Association Carduelis devait être reçue en Préfecture de Tulle Mercredi le 16 avril 2025 : rendez-vous reporté à nouveau!

Le 4 mars dernier, l’Association Carduelis lançait une pétition nationale pour alerter sur la situation des deux loups présents sur le plateau de Millevaches en Corrèze.

Leurs vies étaient alors plus que jamais en sursis, elles le sont toujours.

 

Dans le cadre de la protection des troupeaux, et sous autorisations préfectorales, des tirs de défense contre les loups sont mis en place en France. Ainsi, depuis quelques nuits, cette démarche est déployée en Corrèze où des lieutenants de louveterie sont postés sur le plateau de Millevaches.

L’issue pourrait être fatale de manière imminente pour les deux loups officiellement présents en Limousin. Des naturalistes suivent ces loups depuis des mois, en toute discrétion, pour ne pas ajouter de tension au contexte local et pour ne pas mettre en péril leur existence. Ils souhaitent aujourd’hui alerter et informer sur la situation.

 

Communiqué de presse du 14 avril : CP 14042025

Rappel

Le 27 juillet 2024, ces naturalistes découvraient la présence de 2 nouveaux loups sur le plateau de Millevaches, après l’abattage d’un loup solitaire en 2023.

Leurs recherches ont permis d’identifier l’un de ces loups comme étant un mâle de lignée germano-polonaise, autrement dit venant naturellement d’Europe de l’est, donnée confirmée par les services de l’Etat en septembre 2024.

Elles indiquent également que le deuxième loup est un louveteau femelle âgé d’environ 15 mois (estimation au 27 juillet 2024), certainement né sur le Plateau de Millevaches car il est peu probable qu’un louveteau de cet âge soit arrivé seul sur le territoire.

Bien qu’aucune attaque n’ait eu lieu depuis novembre 2024, des lieutenants de louveterie sont donc installés chaque nuit depuis fin février auprès d’un troupeau.

À noter que deux tentatives de tirs ont déjà eu lieu en juillet 2024, dont une le 29 juillet a gravement blessé le mâle. L’analyse de l’arrêté préfectoral autorisant ce tir révèle qu’il pourrait être illégal, et un recours auprès du Tribunal administratif va être engagé prochainement.

À ce jour, le mâle s’est bien remis de sa blessure et la jeune louve est âgée d’environ 22 mois, mais ils sont en grand danger de mort, et c’est pourquoi nous dévoilons ces informations.

Ensemble, cherchons des solutions pour coexister avec l’intégralité du vivant.

Signez la pétition

Une jeune louve d’exception en sursis sur le plateau de Millevaches

Dans le cadre de la protection des troupeaux, et sous autorisations préfectorales, des tirs de défense contre les loups sont mis en place en France. Ainsi, depuis quelques nuits, cette démarche est déployée en Corrèze où des lieutenants de louveterie sont postés sur le plateau de Millevaches.

L’issue pourrait être fatale de manière imminente pour les deux loups officiellement présents en Limousin. Des naturalistes suivent ces loups depuis des mois, en toute discrétion, pour ne pas ajouter de tension au contexte local et pour ne pas mettre en péril leur existence. Ils souhaitent aujourd’hui alerter et informer sur la situation.

Le 27 juillet 2024, ces naturalistes découvraient la présence de 2 nouveaux loups sur le plateau de Millevaches, après l’abattage d’un loup solitaire en 2023.

Leurs recherches ont permis d’identifier l’un de ces loups comme étant un mâle de lignée germano-polonaise, autrement dit venant naturellement d’Europe de l’est, donnée confirmée par les services de l’Etat en septembre 2024.

Elles indiquent également que le deuxième loup est un louveteau femelle âgé d’environ 15 mois (estimation au 27 juillet 2024), certainement né sur le Plateau de Millevaches car il est peu probable qu’un louveteau de cet âge soit arrivé seul sur le territoire.

Bien qu’aucune attaque n’ait eu lieu depuis novembre 2024, des lieutenants de louveterie sont donc installés chaque nuit depuis fin février auprès d’un troupeau.

À noter que deux tentatives de tirs ont déjà eu lieu en juillet 2024, dont une le 29 juillet a gravement blessé le mâle. L’analyse de l’arrêté préfectoral autorisant ce tir révèle qu’il pourrait être illégal, et un recours auprès du Tribunal administratif va être engagé prochainement.

À ce jour, le mâle s’est bien remis de sa blessure et la jeune louve est âgée d’environ 22 mois, mais ils sont en grand danger de mort, et c’est pourquoi nous dévoilons ces informations.

Ensemble, cherchons des solutions pour coexister avec l’intégralité du vivant.

Signez la pétition