Laurent Ballesta et trois autres explorateurs ont passé un mois dans un minuscule caisson en Méditerranée. À chaque plongée, ils ont observé une vie marine étonnante – et des traces de notre impact.
J’ai grandi sur la côte méditerranéenne, dans le sud de la France.
Alors que le temps passait et que la Méditerranée devenait mon principal terrain d’opérations, j’ai assisté aux ravages du développement effréné de cette côte submergée par le tourisme – et j’ai aussi vu, à des profondeurs de plus de 50 m, des mondes qui semblaient encore intacts.
Jusqu’à une date récente, je n’en avais cependant eu que de brefs aperçus.
Après avoir plongé à une telle profondeur, quatre à six heures sont nécessaires pour remonter à la surface ; il faut respecter des paliers de décompression pour éviter de mourir de la maladie des caissons.
La brièveté du temps passé sous l’eau (de cinq à dix minutes) n’en est que plus frustrante. (…)
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