Une vingtaine de députés LREM de zones de montagne ont demandé le 1er février 2018 une évolution du plan loup 2018-2023 pour « rétablir la confiance » avec le monde rural et préserver le pastoralisme, refusant en particulier toute conditionnalité des indemnisations après une attaque de troupeau.
« Ce que nous observons sur nos territoires est unanime : la méfiance, tantôt vis-à-vis de ceux qui comptent les loups, des études menées, ou des décideurs« , soulignent ces députés, parmi lesquels Joël Giraud (Hautes-Alpes), Célia de Lavergne (Drôme) ou Philippe Folliot (Tarn), dans une tribune envoyée à la presse. (…)
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