Destiné à recueillir de façon sécurisée des alertes sur des atteintes aux animaux sauvages ou des trafics, ce réseau, lancé en 2014, a reçu jusqu’ici 300 informations.
« La toute première plate-forme de lanceurs d’alerte consacrée aux crimes contre l’environnement. » C’est ainsi que se définit WildLeaks (« Fuites sauvages »), nommée ainsi en écho à WikiLeaks. Lancée en 2014, l’initiative a publié en septembre son premier rapport d’activité depuis sa création.
Au total, la plate-forme indique avoir reçu, en six ans, plus de trois cents « fuites », réceptionnées de manière anonyme par le biais d’un site Web uniquement accessible à travers le navigateur Tor.
« Notre première fuite est arrivée un jour après sa création, se félicite son créateur Andrea Crosta, ensuite nous avons eu plusieurs vagues, notamment après The Ivory Game [un documentaire réalisé en 2016, diffusé par Netflix et co-produit par Leonardo DiCaprio, dans lequel apparaît WildLeaks] et d’autres couvertures médiatiques. » (…)
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