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deux gazés qui sommeillaient face à face un matin de juin 2016.
Je me rappelle bien de ce matin qui m’avait conduit sur les traces d’une ophrys abeille, repérée par mon compagnon non loin de l’endroit où il a construit sa drinkstation, un coin de forêt entouré de pelouses calcaires.
Quelle ne fut pas ma surprise ce matin-là de découvrir en lieu et place des orchidées promises des dizaines de papillons encore engourdis par le froid, alors que quelques jours plus tôt je lisais sur les réseaux sociaux les inquiétudes de mes amis macrophotographes qui croyaient constater la disparition progressive de leurs sujets ailés favoris.
Une photo qui fit également l’objet d’une parution dans le supplément mag de l’Est Républicain en septembre 2016.
Sophie Luciani

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